Les intervenant.e.s > Tables rondes

 

 

Mohamed ABDOULOIHABI

Mohamed Abdouloihabi

Né en 1959 aux Comores, titulaire d'une maîtrise de droit obtenue à Paris Assas, puis formé à l'Ecole Nationale de la Magistrature de Bordeaux, Mohamed Abdouloihabi est un ancien magistrat. Plusieurs fois Ministre de la République Fédérale Islamique des Comores dans les années 90, il a également été Président de l'île autonome de Grande Comore entre 2007 et 2011. Il fut également président de la Fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles (FFAIACA) à Marseille.

 

Mohamed Saïd ASSOUMANI

Mohamed Said Assoumani

Mohamed Said Assoumani est titulaire d'un doctorat sur la traduction et le commentaire du Coran en langue comorienne (Université Paris III). Il enseigne la langue comorienne à l’INALCO à Paris. Il enseigne aussi les Sciences du Coran et son exégèse à l’Institut Avicenne de Lille. Il est aussi imam et aumônier pénitentiaire dans la région des Hauts-de-France.

 

Omar BA

Omar Ba

Omar Ba est un écrivain sénégalais. Sociologue de formation, il est également diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes Internationales et Politiques de Paris. Omar Ba est l’auteur de plusieurs ouvrages et travaux de recherche sur le développement, les migrations, le racisme et la gouvernance démocratique. Il est membre fondateur et Secrétaire Général de l’Union des Jeunes Cadres Africains pour le Développement.

 

Mohamed BAJRAFIL

 Mohamed Bajrafil

Kassim Mohamed-Soyir Bajrafil est imam à la mosquée d’Ivry-sur-Seine et Secrétaire Général du Conseil Théologique Musulman de France. Il est l’auteur des essais Islam de France l’An I (2015) et Réveillons-nous, Lettre à un jeune Français musulman (2018) aux Editions Plein Jour. Il est également docteur en Linguistique de l’Université Paris 7, chercheur associé au Laboratoire de Linguistique Formelle (UMR 7110 CNRS-Paris 7), chargé du cours de Géopolitique des Religions au Centre Universitaire de Formation et de Recherche de Mayotte et professeur de Lettres-Histoire en Lycée Professionnel (à Paris). Auparavant, il a également été chargé du cours LV3 Arabe à l’IAE de l’Université Paris Est-Créteil Val-de-Marne (Paris 12) et chargé du cours de Traduction approfondie des médias, arabe-français, français-arabe, à l’Université Paris 8.

 

Kadjoura BARADJI

Kadjoura Baradji

Né en 1995 à Ivry Sur Seine, Kadjoura Baradji est actuellement étudiant en Sciences de l’éducation. Il a vécu 4 ans au Mali, période durant laquelle il a appris l’arabe, une partie du Coran et les sciences religieuses. A son retour, il a poursuivi ses études religieuses notamment à la Madrassah de Cheikh Ayoub et a commencé à enseigner dans une mosquée aux adolescents. Kadjoura est investi dans le milieu associatif musulman, il a été président de l’association étudiante EMF (Étudiants Musulmans de France) Paris IDF et est aujourd’hui membre du TMTT (The Muslim Thinks Tanks).

 

Mame Gora DIOP

Mame Gora Diop

Mame Gora Diop est actuellement coordinateur de projets au sein de l’association Alter Natives qui travaille sur l’accès à la culture par le patrimoine. Titulaire d’un DEJEPS (Diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, mention Développement de projets, territoires et réseaux), il a également validé en 2002 à l’Université Paris 7 un DEA en Migrations et relations interethniques et a suivi un cursus en sociologie à l’Université de Caen Basse-Normandie. Il a entamé une thèse en socio-anthropologie sur les Mourides en France et en Italie à l’Institut d’Etudes Européennes de l’Université Paris 8. Depuis plus de 15 ans, Mame Gora Diop est chargé, au sein du Centre Islamique de Taverny, de l’Institut de recherche Khadimou Rassoul (anciennement CREDI, Centre de recherche, d’études et de documentation sur l’islam). Il est notamment le co-concepteur des « Journées Abdoulahi Wa Khadimou Rassoulihi » qui regroupent des chercheurs, des savants érudits, des acteurs associatifs et le public pour échanger sur des problématiques spirituelles, religieuses, sociales et sociétales à partir du patrimoine islamique revivifié par Khadim Rassoul Cheikh Ahmadou Bamba.

 

Samba DOUCOURE (animateur de table ronde)

Samba Doucouré

Samba Doucouré est journaliste indépendant et vice-président d’Africultures. Diplômé du Centre de formation des Journalistes (CFJ Paris), il est également titulaire d’une maitrise en Histoire contemporaine obtenue à La Sorbonne. De 2010 à 2013, il a présidé l’Association des étudiants africains de la Sorbonne (ADEAS) dont il avait dirigé le journal Philanthropie de 2008 à 2010. Samba Doucouré collabore régulièrement avec Saphirnews, le média de référence sur le fait musulman.

 

Maimouna DRAME

Maimouna Drame

Titulaire d’un Master de gestion humanitaire et développement des ONG et des associations, Maïmouna Dramé a été chef de projet dans ce domaine avant d’effectuer une reconversion professionnelle pour devenir Assistante de service social. Parallèlement à ses études universitaires en sociologie (des religions et politiques), elle a également suivi un cursus à l’Institut Européen des Sciences humaines (IESH) de Paris en études islamiques, sciences du Coran et langue arabe. Maïmouna Dramé a longtemps contribué au développement des associations culturelles de quartier au sein des mosquées, notamment par l’organisation de tables rondes avec les femmes. Elle s’intéresse à la socialisation des jeunes musulmans de la seconde génération ainsi qu’à l’interculturalité, et à la condition féminine en islam. Elle est secrétaire générale de l’association Afrique Idées qui prône la diversité de l’islam du point de vue de l’Afrique subsaharienne.

 

Assani FASSASSI

Assani Fassassi

Pr. Assani Fassassi est originaire du Bénin et docteur en sociologie politique. Il est actuellement le Secrétaire général de la FFAIACA (Fédération française des Associations Islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles) et membre du CFCM (Conseil français du culte musulman). Il est également le fondateur du COFFAD (Collectif des filles et fils d’Africains déportés) et l’auteur de plusieurs ouvrages tels que Sursaut de l’Afrique qu’on achève (1995) et Le péché du pape contre l’Afrique (2002).

 

Nassurdine HAIDARI

Nassurdine Haidari

Né à Marseille en 1978, Nassurdine Haidari grandit dans le quartier du Panier avec des valeurs familiales fortes et une éthique religieuse indispensable. Alors que sa situation est très difficile, il commence à travailler à 8 ans pour aider sa famille. Ancien imam des trois mosquées du centre-ville, il est respecté pour sa vision non dogmatique d’un islam de France. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix en Provence, il lutte activement contre toutes formes de discriminations. Ancien élu socialiste de Marseille, il œuvre pour la représentativité des minorités visibles en politique. En 2011, excédé par la montée de l’islamophobie et la polémique des prières de rue, il écrit « Et bien le musulman il t’emmerde ! » tribune publiée dans Le Monde. Au cours de cette même année, défendant la situation des Roms, il s’insurge contre la montée du racisme et publie dans LeMonde.fr une tribune dénonçant les dérives racistes de certains chroniqueurs et intervenants à la radio. Initiateur de l’appel « Nous ne marcherons plus !» il s’engage pour que les quartiers populaires puissent enfin sortir de cette inégalité de traitement, de cette gestion différentielle qui mine peu à peu la cohésion sociale. En 2017 il ouvre une petite école coranique-chioni afin de lutter contre la montée d'un certain radicalisme auprès des jeunes.

 

Rania HANAFI (animatrice de table ronde)

Rania Hanafi

Rania Hanafi est enseignante-chercheure en Sciences de l’éducation (ESPE) au sein du laboratoire de recherche URMIS. Elle est également coordinatrice du Master MEEF-CPE et responsable pédagogique DU Formation civile et civique Droit, laïcité, religions et société à l’Université Nice Sophia Antipolis (UNS) et l’Université Côte d’Azur (UCA). Elle a publié de nombreux travaux sur les enjeux de religion, de genre et de dynamiques générationnelles comme « L’islam des étudiantes de Bordeaux et d’ailleurs : une sororité à l’épreuve » (in  Religious Minorities, Integration and the State, 2016) ; « La trajectoire socioreligieuse de Faïma : un bricolage identitaire à l’épreuve d’un impensé colonial » (in Cognition sociale, formes d’expression et interculturalité, 2017) ; « Sœurs en islam : des étudiantes pratiquantes en ‘résistance’ » (Ethnologie française, 2017). Elle a également co-écrit en 2018 un rapport intitulé Approche multi-située des établissements privés musulmans en France : état des lieux, enjeux et perspectives rédigé dans le cadre des appels « Islam, Religion et Société » de la DLPAJ (Bureau Central des Cultes).

 

Fatima KHEMILAT (animatrice de table ronde)

Fatima Khemilat

Fatima Khemilat est doctorante en sciences politiques à Sciences-Po Aix et a récemment été chercheuse invitée à l’Université de California Berkeley au Centre Race et Genre. Ses recherches portent sur les politiques publiques en matière de gestion du fait religieux musulman en France. C’est aussi une conférencière engagée pour la promotion d’une société inclusive, qui donne régulièrement des interventions sur les questions liées à la racialisation, l'intersectionnalité et le féminisme. Elle a également été l'animatrice et co-rédactrice en chef d’une WebTv, intervient régulièrement en radios et publie dans des journaux nationaux comme Le Monde.

 

Abdoulaye LEYE

Abdoulaye Leye

Abdoulaye Leye est actuellement président du Collectif des Mourides France (CMF). Il est également Secrétaire général adjoint de la Fédération Française des Associations Islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles (FFAIACA). Il est notamment chargé de la base et des relations extérieures au sein de cette institution. Mr. Leye est par ailleurs membre du Conseil d’administration du CFCM (Conseil français du culte musulman). Il est titulaire d’un diplôme en Interculturalité, laïcité et sécularité de l’Institut catholique de Paris (ICP).

 

Medoune MBENGUE

Medoune Mbengue

Medoune Mbengue est titulaire d’une Maîtrise en Sociolinguistique au Maroc, d’une Maîtrise en Littérature Comparée, Analyse de discours et Francophonies, d’une Maîtrise en Administration et Management International des Territoires, ainsi que d’un Master 2 en Sciences Politiques à l’Université Paris Est Créteil. Ses études l’ont mené au Consulat général du Sénégal à Paris où il officie depuis 2015. Très au fait de la vie politique, il milite pour le parti Bes du Niakk (Espoir en Wolof) dont il est le Coordinateur en France. Actif sur les questions sociales et humanitaires, il est le président d’une association d’entraide et de solidarité pour l’action sociale, Demain un Autre Jour. Membre actif de la Hadara Seydi Djamil à Paris et membre de la coordination des Tidianes pour la Zawiya, il s’est beaucoup intéressé, au cours de son cursus, à la sociologie et à la dynamique des communautés musulmanes africaines.

 

Mohamed MINTA

Mohamed Minta

Né à Macina au Mali en 1963, Cheikh Mohamed Minta est diplômé de l’Université islamique de Médine. Il est depuis 1993 imam de la mosquée de Décines, près de Lyon en France. Il est également professeur à l’IMED (Institut musulman d’enseignement à distance basé en France), fondateur et professeur au Centre Shatibi de Lyon et directeur du Centre interculturel de Décines. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la spiritualité musulmane parmi lesquels L’amour de Dieu et Son prophète ; La voie de l’éducation spirituelle et la purification de l’âme ; At-Tawakoul (Placer Sa confiance en Dieu) ; Le rappel et l’invocation ; bienfaits et mérites, tous édités chez les Éditions Tawhid (Lyon).

 

Cheikh Ahmed NDIEGUENE

Cheikh Ahmed Ndieguene

 Cheikh Ahmed Ndieguene est imam à la mosquée Bilal de Marseille depuis son ouverture en juin 2009. Il a suivi des études en architecture à Dakar puis à Marseille et a également étudié les sciences islamiques au Sénégal. Actuellement, il est gérant d’une entreprise spécialisée dans le numérique et le e-commerce (Whole Of Shopping) et est aussi Secrétaire général de la chambre économique Franco-Sénégalaise (C.E.F.S.). A Marseille, il a contribué à la structuration et à l’organisation des activités religieuses de la communauté sénégalaise et africaine. Son action s’étend actuellement au niveau national et au-delà, à la faveur d’interventions lors de gamou/mawlid, conférences ou forums à l’international (Toronto, Ottawa, Cherbourg, Rabat, Fès, Laghouat, Abidjan, etc.). Il est très attaché au dialogue interreligieux (en témoigne sa participation à « Ensemble avec Marie » à Toulon, « Le séjour des Oliviers » à Cotignac, etc.) et à la tolérance intra-religieuse, en vue de déconstruire les stéréotypes, obstacles majeurs à un vivre-ensemble harmonieux. Il anime, depuis une vingtaine d’années, une émission religieuse hebdomadaire sur les ondes de Radio Gazelle 98 fm, qui diffuse dans les Bouches du Rhône.

 

Hawa N'DONGO

Hawa Ndongo

Titulaire d’un Master en science politique spécialisé dans la lutte contre les discriminations, Hawa N’Dongo est engagée depuis des années dans des projets et associations qui cherchent à faire entendre les voix des jeunes et à lutter contre les stéréotypes et les discriminations qui touchent les femmes musulmanes. Passionnée par les thématiques en lien avec l’inclusion sociale, elle est actuellement conseillère pédagogique en charge du succès des étudiants dans une entreprise d’éducation en ligne. Elle s’exprime également à travers l’art par le slam et la chanson.

 

Ndella PAYE

Ndella Paye

Militante antiraciste et afroféministe, Ndella Paye est comptable de formation. Elle détient aussi une double licence d’arabe et de théologie musulmane de l’IESH de Paris ainsi qu’un Master 1 en Sciences sociales des religions à l’EPHE. Son premier engagement militant date de 2003, lorsqu’elle participe au collectif École pour toutes et tous, qui se mobilise contre la loi du 15 mars 2004. Ndella Paye est membre fondatrice du collectif Mamans Toutes égales, qui lutte contre l’exclusion des mères d’élèves portant le foulard des sorties scolaires de leurs enfants. Elle a un temps été membre du collectif des Féministes pour l’égalité et a également participé au groupe Femmes dans la mosquée qui s’est opposé en 2013 à la relégation des femmes au sous-sol de la Grande mosquée de Paris. Elle est également investie au sein de différents groupes informels de femmes musulmanes qui œuvrent pour une relecture et une bonne compréhension des textes scripturaires, notamment ceux qui concernent la place des femmes dans l’islam et leurs rapports aux hommes.

 

Abdourahmane RIDOUANE

Abdourahmane Ridouane

Titulaire d’un Master en Management des Organisations Sociales délivré en 2016 par l’Université de Caen Basse Normandie, Chef de Service Educatif dans le secteur médico-social, Abdourahmane Ridouane dirige depuis 2014 la mosquée de Pessac à Bordeaux, propriété de l’association du Rassemblement des Musulmans de Pessac (RMP) dont il est président et membre fondateur en 2000. Son engagement dans le milieu associatif musulman a commencé en 1996 au sein de la section bordelaise des Etudiants Musulmans de France (EMF) où il était en charge de la mobilisation syndicale avant de se poursuivre auprès du RMP à partir de juin 2000. Très engagé sur le terrain de la défense des droits des musulmans en France et la question de leur représentation, il a participé en juin avec la mosquée de Pessac à la Consultation des Musulmans lancée en mai 2018 par Marwan Muhammad, l’ancien Directeur du CCIF, et était à Paris le 30 septembre pour la Conférence de Bilan qui s’est tenue à l’Institut du Monde Arabe. Très attaché à la cohésion du vivre ensemble au sein de la République, Abdourahmane Ridouane est également président-membre fondateur de l’association Les Alliés de la Paix, qui milite à Bordeaux sur les questions de liberté, de droits des peuples, de justice et de paix.

 

Bakary SAKHO

Bakary Sakho

Né en 1980 à Paris dans le 19ème arrondissement, Bakary Sakho est chef d’entreprise et entrepreneur social. Il est également le fondateur de la maison d’édition Faces Cachées et l’auteur d’un ouvrage intitulé Je suis (2015) dans lequel il revient sur ses identités multiples de Français, noir et musulman et met en évidence le potentiel des quartiers populaires. Dans le cadre de ses activités actuelles, il travaille et se spécialise sur la question de l’ESS (Economie sociale et solidaire) et développe une théorie sur la « performance sociale » qui consiste à redéfinir l’action sociale et le monde associatif. Il est le fondateur du collectif de coworking « le99 » qui compte une dizaine d’entreprises et d’associations de quartier.

 

 

Aïmirou SAMBE

Aimirou Sambe

Aïmirou Sambe est titulaire d’un DESS en Conception logiciel et application aux bases de données obtenu en 2001 à l’Université de Poitiers, ainsi que d’une AEA en Intelligence Artificielle obtenue en 2000 a l’Université de Dakar. Il travaille actuellement en tant que Chef de projet en informatique et consultant en systèmes d’information. Il est le Secrétaire Général et le coordinateur du Projet Zawiya Seydina Cheikh de Paris. Il est également Secrétaire Général de l’ADDEC (Action de la Diaspora pour le Développement Communautaire), une association qui œuvre pour l’éducation des orphelins du Sénégal et pour la lutte contre le paludisme.

 

Youssouf T. SANGARE (animateur de table ronde)

Youssouf Sangaré

Islamologue, Maître de Conférences en Civilisation et monde arabe au sein de l’UFR Langues, Cultures et Communication de l’Université Clermont Auvergne, Youssouf T. Sangaré est l’auteur de deux ouvrages La fin de la prophétie en Islam (Paris, Geuthner, 2018) et Repenser le Coran et la tradition islamique : une introduction à la pensée de Fazlur Rahman (m. 1988) (Paris, Albouraq, 2017). Il est le lauréat du « Prix de thèse Mohammed Arkoun en islamologie » (édition 2018) et le co-fondateur de la Revue Académique Les Cahiers de l’Islam. Ses travaux actuels portent sur la pensée islamique contemporaine, en particulier les tendances dites réformistes.

 

Maliza Saïd SOILIHI

Maliza Said Soilihi

Née en 1984 à Marseille, titulaire d’un master en droit international et doctorante en droit public, Maliza Saïd Soilihi est conseillère municipale de la Ville de Marseille. Elle est notamment en charge des programmes européens et de l’information digitale.

 

Maimouna Eliane THIOR

Maimouna Thior

Agée de 26 ans, Maimouna Eliane Thior est née et a grandi au Sénégal. Elle est titulaire d’une licence en Lettres (option Bibliothéconomie), d’un Master 2 en Info-com et d’un deuxième Master en Sociologie du genre et de l’égalité. Férue de littérature depuis toujours, sa formation en communication lui a permis de créer un concept d’émission littéraire pour rencontrer la vague de nouveaux auteurs à Dakar. En 2016, elle a réalisé son premier film sur la conciliation travail/famille chez une jeune femme sénégalaise essayant de tenir son ménage tout en travaillant pour faire valoir ses diplômes et être indépendante. Grâce à ce film, Maimouna Thior a été acceptée à lUFR Sociologie de l’Université Lumière de Lyon pour un Master Genre. Elle s’intéresse aux enjeux de socialisation en France et au Sénégal.

 

Ousmane TIMERA

Ousmane Timéra

Enseignant, conférencier, penseur engagé et poète, Ousmane Timera est diplômé de Sciences Po Paris en politiques publiques territoriales et de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes en Islamologie après avoir mené une recherche approfondie sur « le statut de la raison dans la pensée philosophique de l’Imâm al-Ghazali ». Aujourd’hui consultant en gouvernance et en aménagement du territoire en Afrique de l’Ouest, tout en continuant sa carrière de conférencier, il est investi dans la réflexion sur la pensée musulmane, la philosophie coranique, la philosophie de la religion et le développement des quartiers populaires et des pays émergents. Il a publié de nombreux écrits et termine un ouvrage sur la philosophie coranique qui devrait voir le jour prochainement.

 

Fatimata WAGUE

Fatimata Wague

Fatimata Wagué est une jeune franco-sénégalaise. Adjointe au maire de la commune de Villetaneuse depuis 2008, elle est en charge de l’enfance, de la jeunesse et de l’enseignement ainsi que du programme de réussite éducative. Fervente défenseure du service public, elle est également cadre territoriale dans une grande collectivité de la petite couronne.

 

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